Ne lui jetez pas la pierre si vous la rencontrez
Elle qui fût jadis de la rose de Vénus la Beauté
Elle était ma Princesse, m'a accordé son sein
M'a nourri le coeur ,l'a chauffé dans ses mains
Ses yeux sont essoufflés par d'anciens amants
Sa gorge est pantelante son lait y est tari
Elle a relevé sa cote pour gagner l'argent
Qui manquait à la vie pour nourrir ses petits
Prêtresse de débauches toi ma soeur de plaisir
Jamais je renierais les liens de nos désirs
J'étais dans le ruisseau le flanc tout écorché
Toi seule a ôté le clou de la plaie lapidée
Si vous la rencontrez en larmes de douleur
Au coin d'un ruelle le cheveu mourant ,égarée
Trainant déchaussée comme un oiseau blessé
Embrassez la repentante , baisez lui sa ferveur
Les pieds de Madeleine sont ceux du Sauveur.........
Elle qui fût jadis de la rose de Vénus la Beauté
Elle était ma Princesse, m'a accordé son sein
M'a nourri le coeur ,l'a chauffé dans ses mains
Ses yeux sont essoufflés par d'anciens amants
Sa gorge est pantelante son lait y est tari
Elle a relevé sa cote pour gagner l'argent
Qui manquait à la vie pour nourrir ses petits
Prêtresse de débauches toi ma soeur de plaisir
Jamais je renierais les liens de nos désirs
J'étais dans le ruisseau le flanc tout écorché
Toi seule a ôté le clou de la plaie lapidée
Si vous la rencontrez en larmes de douleur
Au coin d'un ruelle le cheveu mourant ,égarée
Trainant déchaussée comme un oiseau blessé
Embrassez la repentante , baisez lui sa ferveur
Les pieds de Madeleine sont ceux du Sauveur.........